Direction la plus grande ville de Nouvelle Zélande : Auckland. Une ville de plus de 2 millions d’habitants construite au milieu des volcans !!

A 20 min d’Auckland en ferry, nous faisons l’ascension et le tour d’une île volcanique : Rangitoto. Ça nous permet d’avoir une vue sur la baie d’Auckland époustouflante et de faire une ballade sur les champs de lave et même dans des tunnels de lave.


 Le lendemain, on découvre la ville et on comprend pourquoi elle est régulièrement désignée comme étant l’une des villes les plus agréables à vivre (on vous mettra quelques photos ce sera plus parlant) !



On dit au revoir à nos dernierd copains dimanche et nous voilà de nouveau à 2 avec encore 2 semaines pour approfondir l’île du Nord.

Direction l’extrême Nord, là où il fait normalement le plus chaud ! Les paysages sont encore une fois à couper le souffle. Au niveau du cap Reinga on voit même l’océan Pacifique d’un côté et la mère de Tasmanie de l’autre qui se rejoignent et forment de gros tourbillons au large. Par contre moins de chance niveau météo car on a eu 2 nuits compliquées a cause de la tempête. Dormir dans un van qui bouge avec le vent, avec la pluie qui fait un boucan d’enfer et la peur de ne pas pouvoir repartir du terrain vague dans lequel nous dormons à cause des innondations … pas toujours très drôle la vie de campeur ;-).

En effet le lendemain, tout est innondé ! On a même suivi des paysans qui faisaient changer de champs leur troupeau de vaches en urgence.



Ensuite, nous avons eu un un petit problème technique qui a un peu perturbé nos plans. En se garant dans un camping, Jennifer n’avait pas vu une branche et le pare brise arrière à littéralement explosé ! Il est 19h, on est perdus au milieu de nulle part et pas facile de dormir dans un van sans pare brise arrière avec du verre partout ! Coup de bol, nous étions dans un camping - ferme où ils nous ont gentiment offert de dormir dans une hutte. Confort rudimentaire mais on est habitués et ça dépanne!

Et le lendemain, retour prematuré sur Auckland, on s’avale quelques centaines de kilomètres pour aller chez le garagiste où le pare brise est dispo .. Ouf, réparation impeccable, on peut reprendre la route. Finalement on s’en est plutôt bien sortis et au moins on sait pourquoi on a payé si cher d’assurance ;-p


 Entre temps, nous avons trouvé une ferme où aller faire quelques jours de volontariat donc c’est parti. On n’y croyait plus mais on saisit l’opportunité et on vous racontera tout ça dans le prochain article !